SUJET :

bonjour a tous je reviens sur ce sujet ayant un spair marine et ayant dessaler 3 fois hier le bateau était bien plus remplis
j'avais en plus des resserves a l'avant mais le bateau était complétement remplit a l’arrière
on était obligé de rejoindre la rive pour écoper
comment se fait il qu il y ait tant de différence entre ces 2 expériences ?

Bonjour François,

Tu vois que dans notre essai, on était en mode simulation.

Dans une vrai navigation, d'autres éléments interviennent. Notamment si tu étais en mer avec du clapot et du vent.

De plus quand tu as redressé, tu étais peut-être avec un équipier. Et la simple différence du poids qu'on exerce sur la coque avant de redresser, qui fait que celle-ci s'enfonce plus dans l'eau peut influencer notablement le résultat final.

Et je ne cesserais de le répéter, dans ce type de bateau, il faut un seau à bord pour écoper. C'est indispensable.

Effectivement on était deux à le ressaler donc avec le poids on a dut l effoncer plus que nécessaire
Sinon on était en lac avec pas mal de vent

Et est ce que le ressalage en lui meme etait aisé ?

Cela dépend de pas mal de paramètres

- la force du vent
- Le clapot
- Si on est seul ou pas

Une personne seulement pour ressaler me paraît suffisant. Deux sur la dérive, le puits n'y résistera pas

S'il y a un vent bien établit qui pourrait gêner la manœuvre, je recommande de dégréer afin de ne pas dessaler de nouveau une fois redressé.
Si on est deux, je suggère de ne laisser monter à bord qu'une personne: la plus légère. D'une part pour que le bateau s'enfonce moins, d'autre part pour que la deuxième personne maintienne l' équilibre du bateau et enfin pour que l'embarqué soit plus libre dans ses mouvements de vidage.
Une ancre flottante peut être très utile et si on est près du bord, une ancre tout court permet de maintenir le bateau "vent debout".

La dernière fois que j'ai dessalé, c'est mon équipière (45 kg) qui remontée tandis que je (96 kg) maintenait la bateau du mieux que je pouvais. Elle n'avait pas son pareil pour vider le bateau avec le seau. 10 minutes après, nous repartions.

francois44 écrit: Effectivement on était deux à le ressaler donc avec le poids on a dut l effoncer plus que nécessaire
Sinon on était en lac avec pas mal de vent

Les conditions de notre expérience étaient les suivantes :
- près du bord, peu de vent et pas de vagues
- nous avons couché le bateau et l'avons laissé se remplir "naturellement"
- je suis monté sur la dérive seul (77kg)
- je l'ai redressé (dans les conditions précitées) sans problème
- au moment où il s'est redressé, il s'est rempli un peu plus (cf. photos)
- nous sommes remontés à bord (77 et 80 kg)
- le bateau ne s'est pas enfoncé
- nous avons écopé (à grands coups de seau...)

Nous étions opérationnels pour repartir. Espérant que cela te soit utuile.

Patrick

les ressalages ont été relativement simple
la première fois il a redessaler directement car l’écoute de grand voile c’était coincé
le premier dessalage était volontaire
le deuxième sur un empannage
le troisième c'est a cause d'un sertissage de hauban qui a laché
d'ailleurs il sont tous entrain de laché ,il faut que je les change si vous avez des bon plans je suis preneur

François, en aparté, viens tu à Quiberon ? avec ton Vaurien ? que l'on éclaircisse de visu certains points le concernant ?

Pour tes haubans, fais des neufs ca coute moins qu'un mat . Y'a bien des ship sur Nantes ?

Bonjour à tous,

Propos que je saisi au vol: les haubans et l'étai. Mes sertissages sont d'origine soit 52 ans. Il n'ont aucun de signe de corrosion mais comme le dit fort justement Patrice : un jeu de haubans neufs coûte moins chers qu'un mât !
Question: y a-t-il un moyen de vérifier la solidité de ces sertissages ?

Lucovitch écrit: Bonjour à tous,

Propos que je saisi au vol: les haubans et l'étai. Mes sertissages sont d'origine soit 52 ans. Il n'ont aucun de signe de corrosion mais comme le dit fort justement Patrice : un jeu de haubans neufs coûte moins chers qu'un mât !
Question: y a-t-il un moyen de vérifier la solidité de ces sertissages ?

Oui tout à fait, et infaillible même ! ! Navigues par bonne brise

j'aurais beaucoup aimé mais je suis en week end famille a mesquer
je serais pas très loin mais je ne pourrais pas me libérer
je comprends qu il y ait des points a éclaircir vus les sujets que j’ai ouvert et que je n'ai jamais remis a jour je vais essayer de tout remettre a jour rapidement
mais déjà je peux te dire que j'ai deux vauriens
un bois enregistré chez vous
un spair marine chez les gens de vendée qui le donnait
pour les haubans ils ont dus être stocké dans un sac bien salé pendant quelques années et tous les sertissage ont sauté ils étaient complétement rongés je précisé que ceux ci était en alu
j'ai aussi une grand voile dont les rivets de la plaque alu tout en haut ont eus aussi tous sauté

François, c'est ton Vaurien bois qui m'intéresse et c'est du pur administratif . Comme tu as pu t'en rendre compte, son certificat de conformité n'est pas bien renseigné .

ok mais je ne sais pas trop ce que je peux te donner comme renseignements je n'ai ni plaque et plus le numéro du vendeur

Carbone 14 peut-être ?

Je rigole mais parfois on se contente de ce qu'on a. Sur le Vaurien actuel (Metge & Paul) pas de plaque pas de numéro gravé seul le n° de voile semble concorder.
Sur mon premier (ANN) une plaque mais quasi illible. J'ai repéré le n° 64 que j'ai communiqué à Jean-Jacques qui m'a indiqué qu'il s'agissait d'un Costantini Mais les voiles n'avaient pas le même n°. L'un 1666 et l'autre 5015. En définitive et en regardant la plaque au binoculaire, il s'agissait bien du 1666.
La plaque étant bien abîmée, certains chiffres avaient disparu.

Lucovitch écrit: Carbone 14 peut-être ?

.....J'ai repéré le n° 64 que j'ai communiqué à Jean-Jacques qui m'a indiqué qu'il s'agissait d'un Costantini ....

Tiens, un autre Costantini, très bon pedigree
un petit frère de mon Pampero sans doute

François
Si tu viens à Quiberon, et que tes haubans étaient sur un mât alu, je peux t'en apporter.

Merci a toi franck
Mais je ne peu pas aller a quiberon je suis déjà pris tout le week end
Sinon c est bien sur un mat alu que j en cherche
Si tu les vends je suis preneur
Il faudrait verfier la longueur pour être sur

On va y arriver plusieurs test ce weekend,dont celui-ci et là c'est le jeu des sept erreurs : réserves de flottabilité mal fixées,et remorquage sur la ferrure d'étai,merci vaurien,c'est du costaud

Merci Yvon,
bon reportage photo d'un dessalage !!
mais malheureusement dans ce cas, sans ressalage possible...

A ce propos, lors des deux dessalages/ressalages de Bluebell
qui se sont finalement bien passés* avec 6 réserves seulement (bien fixées/avec les bouts de retenues changés) j'ai remarqué les détails suivants :
- La force de flottaison est capable d'arracher un crochet inox neuf vissé sur 1 cm !
- La force de flottaison est capable de casser tout crochet laiton attaqué et un peu faible !
- La force de flottaison est capable de casser tout bout de retenue un peu faible !
- La compression des boudins est capable de les déboucher si les bouchons sont inadaptés ou mal enfoncés ...
tout cela peut entraîner un ressalage plus problématique.

(*) sauf que j'aurais du enfiler le haut de ma combi intégrale car c'est moi qui a fait ancre flottante à l'avant du bateau à chaque fois pendant que Franck404 vidait au seau (un bon quart d'heure à chaque fois) !

Luc M.

nous avons assisté à tes deux dessalages ,le dernier c'était techniquement le plus réussi, et repartir à chaque fois,chapeau Luc et Franck